Mais retournons quelques pistes en arrière, à la première : Overture. L’intro est propre, calme, dotée d’une atmosphère futuriste, et se fond avec Year of the Rat. Au contraire, celle-ci démarre sur des guitares bien grasses dont on retrouvera le même son ça et là au fil des titres. Sur les refrains, le chant est arrangé de manière à nous faire penser à une voix lointaine. Babylon passe la vitesse supérieure et l’on retrouve encore par moments cette voix, presque étouffée à travers le scream.