Pour continuer dans une atmosphère légère, volante, et positivement pesante, Note ressort très bien également. C’est une chanson très courte mais qui assure une très belle transition avec Odd Kid, le dernier morceau, guère plus long.
Ce qui fait que l’album de White Note est intéressant, c’est qu’il pourrait ressembler, si cela existait réellement, à un recueil de styles musicaux. Chaque morceau a sa propre sonorité, ce qui rend la découverte et les écoutes suivantes aussi surprenantes.
La force du groupe réside dans sa capacité à évoluer : tout au long de l’EP Undo Me, on attend cette petite étincelle qui nous fera dire : « Oui, c’est ce que j’attendais ! », et quelques années plus tard, les voilà entourés d’un orchestre quasi complet sur leur deuxième album.
Un grand respect à eux pour le travail accompli en autoproduction. Ce n’est jamais simple pour personne de se lancer dans une telle aventure, on salue donc l’initiative !