Quels ont été les événements et les rencontres les plus importantes depuis vos débuts ?
Antoine G. : En 2013, on s’est retrouvés un peu par hasard à un concert des parisiens The Great Divide, et là, c’est la claque, on veut faire du hardcore !
Antoine L. : La rentrée au lycée (2011) avant même de former le groupe, quand Antoine m’a pas mal initié au metal, quand je me suis mis à écouter des trucs plus « vénères » que du thrash des années 80. Bien sûr, on ne doit pas oublier ce fameux cours d’italien où on a trouvé le nom du groupe (ô combien de fois écorché).
Adrien : « Mais, vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée… »
Guillaume : Je pense que la grosse prise de conscience quant à l’orientation vers du hardcore vient en réaction à l’ancien « groupe » de mes acolytes qui les forçait à faire des reprises de Nickelback et je ne citerai rien d’autre…