D’où vient le nom « Tahoe » et pourquoi avoir choisi ce nom pour votre groupe ?
Pierre (synth/voix) : Ça vient du lac Tahoe, en Californie (et pas de la voiture !). On cherchait un nom simple et facile à retenir, celui-ci est venu assez naturellement.
Maxime (basse) : On aime bien la sonorité (ça se prononce « tao »), ainsi que toute la symbolique qu’on peut y associer.
Quelles sont vos principales influences ?
Maxime : Nos influences varient fortement d’un membre à l’autre : ça va de Veil Of Maya à The Weeknd en passant par Emarosa, Sky Eats Airplane, Hands Like Houses… Y en a tellement !
Comment vous définiriez-vous par rapport aux autres groupes de post-hardcore français ?
Pierre : C’est jamais évident de se comparer aux groupes, surtout qu’on est encore tout jeunes. En tous cas, la scène post-hardcore française est très riche malgré le peu de formations qui revendiquent cette influence. Chaque groupe possède son approche et sa façon de faire.
Quels ont été les rencontres et les événements les plus importants de votre jeune carrière ?
Maxime : Il est encore un peu trop tôt pour donner une réponse vraiment pertinente, mais je pense qu’on sera tous d’accord pour dire que notre premier concert, en avril 2013, au Klub, a été assez magique pour nous. On arrivait de rien, avec aucun son et aucune visibilité, et on a eu de super retours de la part de Now, Voyager et de Violet pour qui on ouvrait ce jour-là. Ça a boosté notre motivation.
Généralement, de quoi vous inspirez-vous lorsque vous écrivez et composez vos chansons ?
Maxime : Ça dépend vraiment de chaque chanson.
Pierre : Les idées peuvent venir n’importe quand. En bossant son instrument chez soi ou dans la rue. On passe parfois pour des cons à enregistrer des lignes de voix ou des riffs sur nos téléphones !