Une découverte en live pour Vesperine, donc, et une autre, très belle, pour Kokomo que je ne connaissais pas. Tout droit venu d’Allemagne, le groupe a à son actif quatre albums studios, une communauté fidèle, et, le plus important, une musique qui vous attrape à bras le corps et ne vous libère que partiellement à la fin. Car une fois le « virus Kokomo » attrapé, on ne s’en détache plus.