Je ne connaissais absolument pas ce collectif, mais leur son, entre rap, punk et hardcore, a fait bouger le public. Et c’est peu de le dire… Entre pogos, walls of death et autres mosh pits, la salle du Kao peu remplie jusque là s’est réveillée ! Ce soir-là, Train Fantôme scinde son groupe entre Lyon, Vauréal et Montpellier. Je ne sais pas ce qu’il en a été dans ces deux dernières villes, mais Lyon fut réceptive !